– Association ELA

Comme chaque année 1 € de votre inscription est reversée au profit d’une association.

Cette année, nous courrons pour l’Association ELA (http://ela-asso.com/).

Si vous ne courrez pas, mais que vous souhaitez soutenir ELA, un stand vous accueillera.

En revanche, nous sommes désolé, mais Zinédine Zidane ne pourra pas venir !!!

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– Challenges

La Monta-Cala et le Trail de Peillon font partie du challenge du Pays des Paillons.

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La Monta-Cala fait partie du challenge route CDCHS06.

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La Monta-Cala fait également partie du challenge route Spiridon.

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Enfin les courses enfants font partie du challenge scolaire (l’école la plus représentée se verra remettre une dotation en matériel EPS).

– 10 km et semi de Nice / trail des Lucioles

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Le compte-rendu de Mag :

1 ans et 7 mois après mon inscription au club Courir à Peillon et après quelques courses, j’ai décidé pour cette saison de réaliser un semi.
Jeremy ayant gagné l’inscription au semi-marathon de Nice, et vu qu’il ne souhaitait pas le faire, j’ai pris son dossard. Aussi,environ un peu plus de deux mois après ma foulure aux pieds et 5 semaines après ma reprise de course dont seulement une semaine de préparation, j’ai pris place sur la ligne de départ.

Rendez-vous avait été donné avec le club pour la fameuse photo de groupe à 8h45 sur la place Masséna. On a fait la photo puis on a commencé l’échauffement, un peu difficile pour moi car la vieille, j’avais débroussaillé et j’ai eu des courbatures mais rien d’affolant, même si j’ai senti que cela allait être dur, car plus de jambes.
Sans entrainement, je me mets dans le sas, de ceux qui font plus de 1h55 en temps , et dans le milieu de cette vague, première erreur avec Carole et Nadia. Le départ pour notre vague est donné à 9h35, le départ est très long on ne peut avancer car trop de monde et on se piétine mais bon, pas grave, c’est le début. On commence sur la promenade puis on tourne à Gambetta, là, déjà l’espace pour les coureurs est réduit donc, on est obligé de faire du fractionné, pour doubler et avancer à notre allure. Et la montre qui bug avec le nombre qu’on est, et qui m’affiche des allures improbables genre 15.30 au kilo … donc c’est assez difficile de trouver son allure, surtout que tout le monde se pousse, certains même tombent, c’est la folie. Mais bon, je reste concentrée et motive Nadia pour qu’elle passe sous l’heure.
Au bout du 3-4e kilomètre je vois que Nadia commence à avoir du mal et qu’il y a toujours beaucoup de monde c’est vraiment insupportable du coup je ralentis pour que Nadia puisse un peu récupérer, on arrive vers le 5e et Jeremy me rejoint pour faire mon lièvre et quel lièvre !!!

On arrive à Rauba Capeu la montée redoutée de tous, mais grâce à mon lièvre qui me fait souvent faire des montées, aucune gêne pas de difficultés . A la fin de la montée j’entends Greg et Seb crier Allez Magali ! Allez courir à Peillon comme des fous tout le monde se demande mais c’est pour qui ses encouragements, moi ça me donne une patate ! On arrive au premier ravitaillement ouf ça fait du bien de boire un coup. On continue, arrivée vers le 7-8 km je prends le premier gel qui me redonne de l’énergie. Heureusement car bon je n’ai encore pas pris mon petit déjeuné (oui je sais, ce n’est pas bien).

On refait la montée et là, je continue à doubler les gens. Finalement à part au début, j’ai beaucoup doublé. On arrive au 10 km le moment de se séparer de ceux qui font cette distance et ce n’est pas plus mal car on était trop les uns sur les autres, donc pas trop agréable. Et de nouveau un ravitaillement, ouf car j’avais bien soif. On continue vers les 12km j’ai de nouveaux un coup de pompe, Jeremy me fait reprendre un gel, ce qui me fait du bien. Je croise Franck, Joseph, Fadi, Aurélie et les encourage vivement. Les voir me redonne du courage. Puis je croise Pascale, Sylvie, et Florence qu’on encourage aussi. Au 16 km je reprends un gel car la fin est dure, je sens le manque d’entrainement mais Jérémy est là, il m’encourage et me pousse comme il le fait déjà depuis 10 km. Tout le long il est à côté de moi pour m’encourager et m’aider, comme jamais il ne l’avait fait. Jamais loin de moi, il a su réellement s’adapter à ma vitesse. Me voyant fatiguée plusieurs fois il me dit ralentis ton objectif est de le finir et pas d’être dans un mauvais état.

Mais sa présence m’apaise malgré la souffrance j’arrive à avancer à une vitesse qui est pour moi plutôt pas mauvaise même si je sais que je peux faire mieux. Plusieurs fois vers le 18-19 km les larmes me montent aux yeux, car partager ce moment avec lui c’est le plus beau des cadeaux qu’il puisse me faire. Et je veux tellement qu’il soit fier de moi, car n’oublions pas que j’ai son dossard donc je ne peux échouer, je dois le faire et avec bonheur, ce qui est le cas. Et surtout avec honneur !

Arrivée au 20 km, je sais que je vais le finir ayant retrouvé un peu d’énergie, j’arrive à un peu accélérer. On arrive au 21km, on passe sous l’arche et là, déjà le bonheur m’envahit. Il reste 100 m, tout Courir à Peillon me crie aller Magali !!! Avec tellement d’engouement que je me sens des ailes pousser et j’arrive à bien accélérer, malgré le départ de Jérémy. Je finis avec un temps tout à fait convenable, l’envie de pleurer, et tellement fière de moi-même s’il n’est pas à côté de moi c’est grâce à lui que j’ai réussi et avec un temps qui me convient !

Je récupéré ma médaille, prends le ravitaillement toujours la tête dans les nuages avec beaucoup de fierté. Je retrouve à la sortie Lori qui me félicite, puis je trouve mon chéri qui m’a permis de réaliser cet objectif.

On retrouve Sévérine et Thierry qui me félicitent, puis on rejoint les autres membres du club pour boire un verre tous ensemble pour fêter nos victoires. C’est un moment top et on est tous super heureux d’avoir réalisé nos objectifs. On voit nos coach heureux de nous avoir mené jusque-là, et on se détend au soleil tous ensemble avec une bonne bière et beaucoup de bonne humeur.

Je retiens beaucoup de choses sur cette course, même si beaucoup trop de monde c’est pour moi pas le plus beau semi mais une ambiance de folie grâce à Courir à Peillon. Réaliser un semi ce n’est pas donné à tout le monde et le mental y fait beaucoup. Courir à plusieurs, aide aussi à faire une jolie performance surtout quand la personne qui court avec vous est votre chéri. Je lui dois beaucoup voire tout sur cette course.

Maintenant mon prochain objectif c ’est le marathon Nice Cannes en Novembre prochain J
Merci Courir à Peillon !

Les résultats du 10 km :
DUCHEMIN Angélique : 416ème en 48 min 13.
HENRY François : 609ème en 50 min 51 PB
CORDERO Dorothée : 999ème en 55 min 25.
BOUHASS Nadia : 1406ème en 58 min 55 PB

Les résultats du semi :
SAFFIOTI Franck : 155ème en 1 h 26 min 56.
AJOURY Joseph : 380ème en 1 h 33 min 16 PB.
CARLICCHI Alain : 709ème en 1 h 39 min 01 PB.
MADANI Fadi : 850ème en 1 h 41 min 25 PB.
AQUILINA Aurélie : 1074ème en 1 h 44 min 20 PB.
ORABONA Sylvie : 1831ème en 1 h 54 min 20 PB.
MAHE Valérie : 2040ème en 1 h 56 min 42 PB.
COUTAND Pascale : 2294ème en 1 h 59 min 35 PB.
MADANI Florence : 2302ème en 1 h 59 min 38 PB.
RUYSSEN Magali : 2909ème en 2 h 07 min 20 PB.
BIANCO Carole : 3253ème en 2 h 13 min 13 PB.
MARINO Véronique : 3721ème en 2 h 27 min 07 PB.
FORMA Jean-Claude : 3722ème en 2 h 27 min 07.


Sur le trail des Lucioles Jérémy Payot termine 19ème en 1 h 51 min 29.
Parti prudemment il termine quand même un peu carbo : toutes les reconnaissances et le défrichage du parcours du #trailpeillon commencent à l’user un peu !

Carlicchi Alain

Alain est un excellent coureur toujours prêt à relever des défis : semi, marathon, ascension de la Bonette, trails…
La distance et le dénivelé ne lui font pas peur : il faut dire qu’il a derrière lui plusieurs années de VTT.
Si vous êtes motivés il sera toujours prêt à vous accueillir sur les chemins autour de Contes et vous faire découvrir de magnifiques terrains de jeu.

SES RECORDS

10 km : 44 min 40 à Nice en 2017.
Semi marathon : 1 h 39 min 01 à Nice en 2016.
Marathon : 3 h 45 min 14 au marathon Nice-Cannes en 2016.

– Marathon De Rome

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Depuis de longue date plusieurs coureurs de Courir à Peillon s’étaient inscrits pour le marathon de Rome 2016 ; 9 participants plus certains conjoints, parents, enfants, amis, cela ne se fait pas sans une certaine organisation, qualité qui ne fait pas défaut chez nous, c’est bien connu.

Un premier groupe, composé de David, Séverine, Thierry, Nadia, Fabrice, Antoine et Cathy, parti des le Vendredi Matin en éclaireur  pour repérer le village marathon et profiter de la splendide capitale Italienne. Séverine leur servant de guide pour profiter des bonnes adresses culinaires.

Une deuxième vague Peillonaise avec en tète la famille Waltzer, Julien, Carine, Marc et Annick toujours partants pour des périples festifs, plus moi-même arriva tard le soir. Arrivée fort cocasse en taxi traversant le quartier Trastevere, quartier très animé avec de toutes petites rues (pour vous faire une idée, imaginez un taxi traversant le vieux Nice !!!).

Une fois tout ce petit monde bien installé, sauf moi , puisque mes acolytes d’appartement se faisaient un bon resto vers la Fontaine de Trevie, nous avons commencé notre tournée culinaire en trouvant de quoi nous sustenter dans ce beau quartier.

Le premier groupe nous a, non sans mal, enfin rejoint dans des retrouvailles bien animées au milieu des passants qui devaient nous prendre pour des dingues : cette impression de ceux qui nous ont croisés tout au long du séjour a du certainement perdurer, vu l’animation que nous mettions autour de nous.

Enfin pour clore cette journée, nous avons tous rejoint nos logements respectifs, c’était facile pour Julien, Carine, Thierry et Severine qui logeaient juste à coté, pour Marc et Annick (plus au nord et sur une colline) et pour nous, encore plus au Nord, juste au dessus de la basilique Saint pierre, c’était loin d’être évident.

Pour ma part c’était la première fois que je venais à Rome, qu’à cela ne tienne, j’ai pris le plan pour guider mon troupeau, les mauvaises langues vous diront qu’on a mis un peu plus de temps que prévu, mais surtout ne les écoutez pas !

Enfin un peu après minuit, j’ai pu gouter au confort d’un vaste lit double, le tirage au sort m’avait donné comme compagnon de chambre (et donc de lit) David. Je ne savais pas encore que les nuisances sonores de mon Ami allaient m’empêcher de passer une nuit  aussi agréable que je me l’imaginais.

Le Samedi matin, nous sommes allés retirer nos dossards en rejoignant la famille Waltzer, nous avons appris que les parents s’étaient perdus (comme quoi il n’y a pas que les enfants qui se perdent) en rentrant la veille, atterrissant au bout d’une heure  à leur point de départ.

Pour la bonne cause, celle de récupérer les dossards de ceux qui arrivaient le Samedi soir, Marc Waltzer a rajeuni de plus 20ans, étant né en 1980 !!! et David s’est métamorphosé en Sebastien Chevrolier.

Puis retour au centro città pour un bon resto tous ensemble et surtout pour clore ce repas le meilleur cafééé  (plus granita au café pour certains ,une tuerie !!) et bien sur il gelato chez giolitti  (les meilleures glaces du monde dixit Severine).

De là ont démarré dans les rues de Rome les photos de groupe les plus invraisemblables sous l’œil médusé des passants. David nous a affublé de surnoms  déclenchant les fous-rire, pour lui c’est Davidcicoach, le ci en italien se prononçant tchi, d’autres surnoms dont je vous laisse trouver à qui ils ont été attribué : rox et rouquine, jean le clodo , Belle et Sebastien, plus d’autres que j’ai oublié.

Autre anecdote valant son pesant d’or : en sortant du resto , un couple de Français bien distingué m’a demandé ou se trouvait Peillon  (j’avais comme beaucoup d’autres le survêt du club). Sachant qu’on allait courir la maratone (à noter marathon est féminin en italien, par contre gelato masculin) la dame de ce couple m’a demandé d’un ton sérieux : Même le vieux Monsieur aux cheveux blancs va courir le marathon ? Je vous laisse deviner de qui il s’agit.

Dimanche 10 Avril, enfin le jour tant attendu est arrivé, Antoine nous a réveillé de bonne heure (très important avant une course le réveil musculaire total demandant 2 heures minimum). Mon davidcicoach a encore ronflé comme une mobylette, autant vous dire que je ne pette pas le feu, mais, bonne surprise, je ne ressens plus de douleur au mollet droit grâce au baume du tigre que Fabrice m’a passé et dont j’ai utilisé la moitié du pot (c’est peut être un produit illégal mais je m’en fous !!).

Nous nous retrouvons donc tous les 9 aux camions qui servent de consigne pour la séance photos dont vous avez déjà eu un large aperçu, puis après avoir pris l’entrée gardée pour les coureurs, je me surprends à faire un petit pipi contre les murs du colisée (oh c’est pas beau ça ), juste avant les sas nous trouvons des toilettes, alors profitons en pour s’alléger de tout poids superflu, encore quelques photos et Julien, Greg et Seb rejoignant le Sas 1.

En ce qui me concerne ,je devais aller dans le 2 avec Antoine, Fabrice et David, mais sans grande prétention chronométrique et voulant faire un bout de course avec Sev et Thierry ,je rentre dans le Sas 3,avec David et…..Fabrice qui nous a suivi.

Vu tout ce que je vous ai relaté auparavant ,autant vous dire que l’on était pas les premiers ,on rit même de voir que nous sommes juste après les ballons de 7h (oui vous avez bien lu),donc pour tout dire pratiquement les derniers à partir.

Ça y est ,nous voilà partis plus de 10 minutes après les premiers ,julien seb et greg doivent avoir déjà fait plus de 2 bornes, mais qu’importe ,j’ouvre de grands yeux pour admirer toute cette foule, ce centre histoire qui respire l’époque Romaine dans toute sa splendeur, je suis impressionné par toutes ces musiques importantes (formations pour certaines d’une cinquantaine de musiciens) qui se succèdent à peu de kilomètres prés ,bref c’est le bonheur.

Sev Thierry et David sont juste quelques mètres derrière, je continue à mon allure plus que raisonnable tout content de ne ressentir aucune douleur. Je m’aperçois tout de suite que ce marathon est tout sauf plat ,oh pas de grosses cotes, mais de petites montées ,descentes ,virages ,pavés qui font qu’il m’est difficile d’enfiler des kilomètres à allure régulière.

Je passe au semi en   1h 52 (environ 5’20 de moyenne au kilo)     ,tout va bien ,mais je sais par expérience ,que c’est à partir de ce moment là que le course se joue.

En effet chaque marathon est une aventure vers l’inconnu une fois le semi passé , c’est toujours grisant et stressant de ne pas savoir comment notre corps va réagir et chaque kilomètre passé à partir de ce moment là sans douleur , sans signe avant coureur de fatigue musculaire ou autre est déjà une victoire en soi et une source de satisfaction.

30eme kilomètre 2h 40 ,c’est super  toujours le même rythme ,qui ne me permettra pas de battre mon record ,loin de là , mais qui me satisfait pleinement vu les ennuis qui ont précédé cette course, j’admire toujours le décor et je profite au max de l’ambiance chaleureuse des spectateurs.

35eme kilo 3h 08,j’ai très légèrement ralenti  (5’23) mais encore doublé plus de 200  coureurs, je n’en reviens pas ,c’est presque irréel de n’avoir mal nulle part, c’est ça le marathon on va de surprise en surprise(bonnes ou mauvaises).je me dis que Greg Seb et Julien doivent être arrivés maintenant et je pense à eux

Tout d’un coup ,vers le 37 eme ,je ressens de légères crampes d’estomac, je ralenti à 10km /h  tout en doublant encore quelques participants ,je passe au 40eme en 3h 38 en rentrant dans un tunnel casse pattes ou beaucoup de coureurs en profite pour marcher (ils sont à l’abri des regards J ).

J’essaie de garder une allure raisonnable mais je n’ai plus de jus, pas de bobos, pas anormalement essoufflé, mais plus d’essence dans le moteur ,la prochaine fois ,je vérifierai ma consommation et je prendrai des gels pour faire le plein ,c’est promis les coachs !!!.

Je finis donc comme je peux je mets un quart d’heure pour faire ces 2kilos et demi car un marathon ne fait pas 42,195 comme vous le pensez mais plutôt 42,5 km pour la plupart des participants.

Juste avant d’arrivée je vois Nadia qui m’encourage ,elle n’a pas de mal à faire quelques dizaines de mètres avec moi ,comme ça fait du bien !!!!! puis c’est l’arrivée ,toujours magique quand on finit avec toutes ses facultés cérébrales et pas trop amoché physiquement, je prends tout ce que le course me donne encore ,les encouragements ,la splendeur de la Ville, l’arrivée avec les gardes romains que ça fait du bien !!.

Quelques minutes après je retrouve Severine et Thierry tout à leur bonheur d’avoir réussi leur défi sans trop de dégâts ,Séverine est encore plus joyeuse que d’habitude ,je vous laisse imaginer le tableau J.

Puis après avoir récupéré nos sacs ,nous nous retrouvons tous autour d’un verre bien merité, les résultats n’ont pas été à la hauteur de nos esperances,mais cela n’est pas grave comparé au plaisir d’avoir vécu  quelques jours tous ensemble, dans l’amitié et la solidarité réciproque, d’avoir découvert pour ceux que je connaissais le moins des gens d’une grande valeur ,la voilà la plus belle des victoires et pour cela je vous en remercie tous du fond du cœur.

Jean le Clodo.

Bacci Greg :
Waltzer Julien : 3 h 28 min 26
Sanna Fabrice : 3 h 34 min
Chevrollier Sébastien : 3 h 35 min 43
Forma Jean-Claude : 3 h 53 min 43
Cetlin Séverine : 4 h 01 min 04
Bisson Thierry : 4 h 01 min 04
Laroche David : 4 h 18 min 00
Vissuzaine Antoine : DNF

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