COMPETITIONS 2011 – – Saint-Jeannet – Antibes

Les Foulées des Baous

 

 

L’an dernier, nous avions fêté lors de cette course le retour du beau temps dans la région. Cette année en revanche, le climat n’était pas à la fête. Le baou de Saint-Jeannet, magnifique éperon rocheux, était couvert de brume et pouvait ainsi faire figure de décor à un film d’épouvante.

Certains coureurs n’ont donc pas répondu présent (malgré leur pré-inscription) par peur de la pluie, faisant par conséquent chuter le nombre final de participants. Heureusement, pour soutenir l’association “Ensemble avec Benoît”, la vague orange spiridonnienne a déferlé sur les sentiers de La Gaude. Le Stade Laurentin était aussi dignement représenté mais Peillon n’était pas en reste avec 7 coureurs au départ.

 

7 mercenaires, ou samouraïs comme vous voulez, et pourtant 6 classés. En effet, Jean-Marc Taraud plein d’ambitions en ce début d’année a abandonné au terme du premier tiers de l’épreuve. A croire que l’abandon est devenue une spécialité familiale, car malgré le talent des Taraud, Marc, le fils prodige, avait lui aussi jeté l’éponge sur le 10km de Cannes. Jean-Marc tenait cependant à assurer sa légitime défense en évoquant des crampes insoutenables derrières les cuisses. Insoutenables, c’est cela oui…

 

Ainsi, le petit duel des vétérans concocté par Philippe Cordier a tourné court. Philippe, perdant son principal adversaire et constatant l’absence de Jean-Robert n’allait être mis en difficulté que par le seul et l’unique Marc Waltzer.

Commençons par Philippe : celui-ci a réalisé une course sage après quelques semaines d’arrêt de compétition. Le coach a tourné sur des bases inférieures au 10km de Cannes, ce qui est normal vu le dénivellé du jour, mais montrant tout de même qu’il préfère le plat aux côtes assassines (comme la fameuse de Gorbio).

Marc a lui achevé sa course sans trop de fatigue physique et psychique mais l’explication à cela est un peu moins reluisante. Avec une moyenne légèrement supérieure à 10km/h, l’ancienne gloire internationnale du 06 n’a finit que deux minutes devant un certain Gillou Appourchaux, star médiatique du net mais surtout néo-V4. Marc a en fait lancé un concept, celui de la compétition-footing. Comme Arno Champalle l’an dernier, el prezidente se sert des courses départementales pour effectuer ses meilleurs entraînements.

 

Plus haut dans la hiérarchie, petite déception pour les jeunes car ils avaient prévu de courir avec Jeremy, qui hélas manquait à l’appel au moment du départ. Qu’à cela ne tienne, Christophe Blachon avait décidé de faire parler la poudre aujourd’hui. En passant les deux premiers kilomètres en 6min10 (ça descendait on vous rassure), Christophe pensait avoir accroché le bon wagon. Hélas, avec assez peu d’entraînement cette semaine et une cure de BigMac entamée depuis un mois, Chris ne partait pas dans des conditions physiques optimales. Auteur d’un départ encore plus fou, David Demarty n’a pas eu froid aux yeux seulement 3 semaines après sa brillante prestation au marathon de Barcelone. Mais pour lui aussi, la course fut longue.

Christophe a ainsi laissé partir les deux nouvelles “pépites” de la course à pied azuréenne : Florian Saupagna et Julien Gueydon, bien qu’il soit conscient que son potentiel lui permettra dans peu de temps de courir à leurs côtés. Il a ensuite serré les dents pour rester aux côtés des coureurs de Peillon.

David, à l’instar de sa course de Grasse qui avait suivi le marathon Nice-Cannes, était donc en pleine reprise et a vu logiquement ses adversaires fondre sur lui. Même si le parcours pouvait lui convenir aujourd’hui, il a été obligé de marcher quelques pas dans la dernière montée du château, perdant une petite dizaine de places sur l’ensemble de l’épreuve. 

 

Irrésistible, tel a été Julien Waltzer sur les sentiers de Saint-Jeannet. Parti comme à son habitude assez prudemment, Julien a donné la leçon à tous ceux qui s’étaient grillé au départ de l’épreuve. Après avoir stagné au kilomètre 5, Juju a creusé l’écart sur ses poursuivants sans même prendre la peine d’accélérer. Son entrée dans le stade a été plus stressante, puisqu’Annick lui a signalé le retour improbable de Christophe revenu malgré sa souffrance. Appeuré par le sprint dévasteur du jeune espoir, Julien a un peu sprinté pour assuré son accessit, tranquille…

 

Franck Saffioti était lui aux premières loges pour contempler la foulée régulière de Julien et la course en yoyo de Christophe. Franck a bien fait sa course mais a montré ses limites quand Juju a accéléré au 8ème km et quand son coéquipier espoir a lancé l’assault. Au départ de la course, le pensionnaire du Spiridon s’était plaint de maux de ventre qui ne l’ont pas incité à suivre le rythme de ses prédecesseurs sur le final autour du stade. Dommage d’autant que les jambes étaient là aujourd’hui. Cela reste en tout cas une bonne préparation pour la course préférée de Franck, la Ronde des Collines Niçoises qui aura lieu la semaine prochaine.

 

 

Résultats :

 

Julien Waltzer : 14ème en 39min 24sec 

Christophe Blachon : 16ème en 39min 35sec, 1er espoir !

Franck Saffioti : 18ème en 39min 37sec, (2ème espoir)

David Demarty : 23ème en 40min 40sec (3ème V1)

Philippe Cordier : 175ème en 53min 05sec

Marc Waltzer : 264ème en 59min 07sec

 

339 arrivants.

Classements complets sur le site du Spiridon CA ou celui de Chronosports ou sur Gillou.biz (+ photos) ou sur le site de la course…

 

 

 

Les Boucles du Rotary et Trail d’Hermès

 

 

Seul Jean-Robert Frey était présent sur les routes du bord de mer antibois. Après l’enchaînement des grosses distances, J-R a retrouvé une distance qui lui convient mieux. Réussissant à afficher une moyenne de 13km/h, Jean-Robert pourra nourrir de nouvelles ambitions sur les prochains 10km. Il termine aussi dans la première partie de tableau, ça faisait longtemps !

 

Jean-Robert Frey : 84ème sur 170 en 44min 48sec

 

Du côté de Fréjus, les regrettées Foulées d’Hermès ont laissé place au Trail d’Hermès dont le parcours est tracé tout autour du mont Vinaigre à 10km de la ville. Cette délocalisation n’a pas empêché Greg Athénosy et la petite famille de faire le déplacement.

Petite originalité, un trail pour les jeunes de 2500m était prévu. Luca A., future star peillonnaise à n’en pas douter, a effectué sa première véritable course de côte et ne s’en est pas mal sorti du tout.

Chez les adultes, le Papa Greg Athénosy a repris la compétition sur une épreuve assez exigeante bien que le rapport dénivellation/km n’atteigne pas les références de La Peïra et de la Nartuby. Une belle course et une place dans le top 15 pour Greg sur le trail court !

Peu de partants malgré tout, un effet néfaste du prix…

 

Greg Athénosy : 15ème sur 99 en 1h 23 et des brouettes.

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Le Férion – Monaco – La Roquette/Var – Puget-ville

Trail du Férion

 

ferion.JPG

 

Feux d’artifice ! Stéphane Giordanengo vient de remporter le trail du Férion sur le 26kms. Il signe la première victoire du club en compétition après de nombreuses “deuxième place”. Le début d’une longue série très certainement. Il établit également le premier record de l’épreuve qu’il a remportée ce jour. Pour Stéphane : “Hip hip …”

 

Le récit du champion, un véritable apperçu pour ceux qui voudront le faire l’an prochain :

Je suis parti à une allure assez “cool”, à 160 pulsations/mn. Je me suis tout de suite retrouvé devant, avec dans ma foulée celui qui a finit 2ème de la course. Après une piste, on a effectué une petite descente, puis on a commencé la première ascension, environ 2 km. Mon poursuivant était juste derrière moi, mais à environ 500m du sommet il a commencé à faire le yoyo. Au sommet, il y avait le premier ravito. Je ne m’y suis pas arrêté, je sais pas ce que le 2ème a fait, mais juste après je ne l’ai plu entendu. On a pris le travers vers la Baisse de Marsan, je ne l’avais jamais vu aussi détrempé ! A Marsan, la première vraie descente a commencé (jusqu’au plan de Linéa en bas de Coaraze). Je l’ai fait à bonne allure, en essayant de faire gaffe à mes pieds pour pas me faire d’ampoules précocément. Au passage de la baisse de Buse, comme prévu la team de Peillon, Em-Ti en tête, était au RDV, avec Dooble Di. Je n’ai pas vu qui était les 2 autres, j’étais concentré sur les pierres pour pas tomber, mais il m’a semblé reconnaitre la voix de Freddy. J’en ai eu confirmation après, et le 4ème était Rodolphe le photographe du jour. Jusqu’à la Baisse de la Croix c’est du plat, après seulement 26 mn de course j’en ai profité pour prendre un gel. Après, on enchaîne sur une descente hyper technique. Comme je la connais comme ma poche, je l’ai faite à fonds pour prendre de l’avance où c’est le plus “facile” (l’avantage du terrain !). Arrivé à la remontée sur Coaraze (qui doit passer bien plus facilement à pieds pendant un trail qu’avec un vélo sur le dos pendant un raid), je me suis retourné, il n’y avait personne en visuel. Au ravito de Coaraze je me suis arrêté prendre 2 bouts de barres céréales (ravito mal placé d’ailleurs, qui imposé de faire un aller-retour), puis j’ai continué l’ascension, la partie la moins agréable de la course, une montée sur route dans un rytme et une foulée trés différents du reste. Après la Chapelle Bleue, de nouveau un sentier, jusqu’au col St Michel, avec quelques passages un peu raides mais jamais trés longs. A cet endroit j’ai de nouveau pu prendre des écarts, j’avais au moins 3 mn d’avance. Dans ma tête ça me semblait trop simple comparé aux courses de d’habitude. Dans la descente du col jusqu’à l’Engarvin, la visibilité allait bien plus loin, j’avais au moins 5 mn. Encore un gel pour pas manquer de carburant.
Arrivé à l’Engarvin, un très menaçant berger allemand m’a bien fait flippé, mais en criant il est parti (cela n’a pas été le cas pour tout le monde, il a choppé plusieurs coureurs, dont un assez profondément apparemment !). Après le passage du pont (en bas de Planfaé), la dernière grosse difficulté : la montée jusqu’à la Baisse de Marsan. A ce moment, je me suis dit que de bien connaitre le parcours était un sacré avantage, pour ceux qui le découvrent cette partie doit être trés difficile à gérer mentalement avec quelques bon murs à gravir.
Après avoir bénéficié d’une ouverture du circuit par 2 moutons, sur environ 1 km, j’ai fini l’ascension en solo. De là, retour à l’arrivée par les parties empruntées au départ.
L’arrivée passée, je suis tout de suite allé me changer, j’ai appris ensuite que j’avais plus de 8 mn d’avance sur le 2ème, Josselin Flores. La 3eme place revient à J-M Deletang.

 

 

Hans Spies dit “l’espion” a été encore plus brave en s’affrontant aux 39kms. Avec assez peu de partants il parvient à accrocher une place d’honneur. Preuve qu’avec le long, Hans se trouve bien plus à son aise. La reprise de l’entraînement en compétition participe en outre de son évolution depuis son retour à Gorbio.

 

Victoire d’Olivier Vancassel devant d’autres spécialistes.

 

Résultats

Stéphane Giordanengo : vainqueur du 26kms en 2h38min57sec

Hans Spies : 14ème sur 47 du 39kms, en 4h38min32sec

 

 

 

 

Riviera classic et 10km de Monaco

 

 

Un rendez-vous et deux épreuves au programme.

 

Sur le 10km, David Laroche a apprécié la course d’équipe réalisée avec sa compagne et ce, même si le tracé monégasque ponctué de tunnels et de fréquentes montées ne lui a guère plu, tout comme l’absence regrettée d’une foule en délire (telle celle de Barcelone).

Le plus marrant dans tout ça est qu’Angélique a bien failli se rapprocher du record de David. Attention, tout peut changer très vite si on ne surveille pas ses arrières. Belle course en tout cas.

 

Sur la Riviera classic, une nouvelle épreuve du calendrier, Peillon avait engagé 2 femmes et 2 hommes (car nous aimons les choses bien faites, symétriques).

Chez les dames, Sophie Juncker a fait preuve de coeur en revenant à la compétition seulement 15 jours après son marathon espagnol. Elle réalise en plus de ça, un chrono tout à fait honnête compte tenu de la denivellation.

Patricia Maout a quant à elle cherché à faire son retour sur longue distance avec le plus de précaution. Sans trop forcer, elle a ainsi dépassé les 10km/h de moyenne pour son plus grand plaisir. Il reste désormais à “travailler” pour espérer revenir sur les talons de Sophie mais c’est un bon début.

Chez les garçons, que Philippe Cordier surveille de près, Sébastien Huault a encore été parfait. Le coach lui avait donné comme consignes nettes et précises de faire les 14 premiers kilomètres de l’épreuve à l’allure marathon puis de passer à allure semi sur le dernier 10km. Mission pleinement réussie qui laisse augurer un bon semi de Nice.

A seulement deux minutes derrière, Florent Laudani participait à l’épreuve avec le plaisir non dissimulé de commencer la course sur le sol italien. Excité par cette dimension patriotique, Florent avait comme objectif de suivre Séb, son annonceur de rythme. Mais pour la deuxième fois en un mois, Flo a encore craqué pour laisser filer le rat de laboratoire! La séparation est proche…

 

Résultats du 10km

Angélique Duchemin : 279ème en 50min50sec

David Laroche : 282ème en 50min 52sec

573 arrivants.

 

Résultats du 23,5km

Sébastien Huault : 76ème en 1h41min33sec

Florent Laudani : 86ème en 1h43min34sec

Sophie Juncker : 254ème en 1h57min35sec

Patricia Maout : 474ème en 2h11min13sec

817 arrivants.

 

 

 

La Roquette-sur-Var

 

 

Ca a saigné ce matin sur les routes de la Roquette. Ni Julien Waltzer, Christophe Blachon et Jeremy Payot n’avaient prévu de venir jouter en bord de Siagne deux jours auparavant. Mais ce dimanche, ils décidèrent pourtant de s’y retrouver.

Le duel allait assez rapidement se transformer en course d’équipe. Christophe un poil au dessus de ses partenaires est pourtant parti le moins vite. Il faut dire que dans quinze jours il sera au départ du marathon de Paris, pas le moment de se blesser. Sa vitesse et sa puissance lui ont néanmoins permis de doubler ses amis sur le final.

Julien et Jeremy peuvent être satisfaits de leur course puisqu’ils terminent proche de Chris et de William Pellacani, bon coureur antibois, mais surtout car ils ont mené le peloton de tête (surtout Jerem’ qui avait dû boire du RedBull) pendant les cinq premiers kilomètres. Un peu courts sur la fin, ils ont vu le podium leur échapper à cause notamment de la petite délégation mandolocienne, dont un très en forme Benjamin Broglio qui ne s’entrâine pourtant plus beaucoup.

 

Une course de jeunes me direz-vous et bien oui! Car se sont ensuite étalonnés : Jean-Marc Taraud qui enchaîne les compétitions en ce moment, Jean-Robert Frey qui réenchaîne après le marathon et Marc Waltzer qui se déchaine contre le bitume. Le plus grand mérite leur revient même si Jean-Marc est plus particulièrement en train de bousculer la hiérarchie départementale. Il faut poursuivre sur cette voie.

 

Sinon, victoire sans souci pour William Struyven qui réalise le doublé.

 

Résultats

Christophe Blachon : 8ème en 54min29sec

Julien Waltzer : 10ème en 54min50sec

Jeremy Payot : 11ème en 54min59sec

Jean-Marc Taraud : 33ème en 1h10min32sec

Jean-Robert Frey : 38ème en 1h12min55sec

Marc Waltzer : 57ème en 1h21min44sec

72 participants.

 

 

 

 

Trail de Puget-ville

 

 

Seul dans le Var, Franck Saffioti a défendu les couleurs du club en finissant 14ème de la course nature de 13km. Parti assez tranquillement, Franck avait l’avantage de se rappeler du tracé. Cela ne l’a pas empêché d’effectuer deux chutes dont une qui a valu l’envolée des lunettes. Quelques minutes plus tard les lacets se défaisaient, et voilà encore trente secondes de perdues ! Mais toutes ces petites pauses malvenues auront au moins permis de reprendre du souffle dans une épreuve tout de même assez corsée.

Victoire de Julien di Cioccio devant son partenaire François Mourgues.

 

Résultat

Franck Saffioti : 14ème sur 179 en 1h08min02sec

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Les courses de Beausoleil

La course de la St Joseph – Beausoleil –



Pour cette course en deux temps, 5 membres de Courir à Peillon se sont dirigés vers Beausoleil.
Carine et Julien Waltzer étaient présents le matin pour la course des escaliers, Jean Marc Taraud, Marc Waltzer, Stéphane Cittadini et de nouveau Julien Waltzer se sont présentés au départ de la course nature de 8 km.


458 marches étaient au programme de la matinée, avec une traversée de haut en bas de la ville de Beausoleil.
Cette épreuve est en fait un contre la montre, les participants démarrant toutes les 2 minutes.
Julien réalise cette montée en 2 min 03 (6ème scratch), et Carine termine quant à elle en 3 min 42, ce qui lui permet de monter sur la plus haute marche du podium dans la catégorie sénior (nous ne parlerons pas du nombre de partantes !).


De retour à 14 h 30 autour du stade Vanco, les 4 membres masculins de Courir à Peillon se sont frottés à leurs adversaires sur un parcours comportant 4 tours d’environ 2 km.
Julien, dans le coup pour la deuxième place pendant deux tours a un peu craqué sur la fin et termine 6ème.
Stéphane pour son retour à la compétition fait une belle course et finit juste devant l’excellente Mariana Weber.
Jean-Marc Taraud réalise son objectif en terminant 2ème V3, et Marc malgré son peu d’entrainement réussit à se faire plaisir sur ce parcours assez vallonné.


A noter la belle 3ème place au scratch sur l’ensemble des deux épreuves pour Julien, derrière Max Maccio et Olivier Faletti.


De nombreuses photos sont sur les blogs de Gillou et de Claude Eyraud .

Résultats escaliers.

Résultats nature.

Résultats du grand défi.

COMPETITIONS 2011 – – Marathon de Barcelone – Le Béal – Breil/Roya

Marato de Barcelona

 

 

LE SEJOUR :

Ce week-end prolongé dans la capitale catalane a été l’occasion pour près d’un tiers des membres du club d’effectuer la première sortie officielle de Courir à Peillon.

L’an dernier, les sorties de Genève et Rome n’ont rassemblé qu’une part minime de nos athlètes, le déplacement s’est cette fois effectué en grand nombre. C’est dans un bus de la société Peirani que nous partîmes 27 et que nous nous vîmes toujours 27 en arrivant à Barcelone. Nous en profitons d’ailleurs pour saluer notre chauffeur, toujours très au point concernant les pauses-pipi et plein de courage pour avoir affronté sans sourciller le DVD ‘Alvin et les Chipmunks’. Seul Elliot manquait à l’appel, à cause de son tout nouveau bracelet électronique… Et malgré leur grande solidarité, les membres du club veulent pourtant lui faire facturer la surtaxe qu’a causé son absence.

Arrêtés sous le coup de 22h dans la rue de notre hôtel, quelle n’a pas été notre surprise en apercevant un somptueux 4 étoiles qui, pensions-nous, allait être la résidence de notre villégiature… ce qui n’était hélas pas le cas. Devant l’hôtel ‘Agua Alegre’, le bon, 1 rue plus bas, 2 étoiles en moins, la répartition des chambres a pu commencer. Dès cet instant, certains ont apparemment bénéficié d’un régime de faveur. Julien et Carine Waltzer se sont par exemple retrouvés dans ce que l’on pourrait appeler une “suite” étant donné la superficie et le luxe de leur intérieur. Stéphane et Sophie ont quant à eux accueilli dans leur chambre David Demarty pour des motifs obscurs, que certains ont tenté d’expliquer, en vain.

23h en mars par un temps pluvieux : en France, tout le monde pense à aller se coucher, à Barcelone, on en est encore à l’apéro ! Nous nous sommes donc tous rendus à un restaurant tapas ‘Los Toreros’ pour un dîner nocturne grâce à la bienveillante réservation de Marion Waltzer et Eric Marchand. Certains ont alors commencé une cure de sangria et de cerbeza qui aura duré quatre jours et trois nuits. En tête de file, saluons les performances de David Laroche, Marc Taraud  et Philippe Cordier, très en forme, même en terre étrangère. En revanche, sous le prétexte marathonien, d’autres ont entamé une sorte de pseudo-diète avec en tête de liste Jean-Robert Frey suivi de Stéphane Giordanengo. Si Stéphane n’a pas fait le marathon, ce voyage lui a cependant permis de prendre conscience de son embonpoint, en écoutant notamment les remarques acerbes du jeune Rémi T.

Le samedi, veille du marathon, la visite de la ville était à l’honneur mais selon les intérêts de chacun. Stéphane, Sophie Juncker et Patricia Maout ont traîné de force David Demarty et Max Maccio dans une promenade de Montjuic au Park Guell qui semble-t-il n’a pas été préjudiciable pour l’épreuve du lendemain. Ils ont notamment croisé en sortant de Poble Sec, dans le Raval (quartier des prostitués, comme par hasard…), Florent Laudani, Sarah Barale et Franck Saffioti, qui ont eux visité tout le centre-ville, le quartier gothique, l’itinéraire Gaudi… et surtout manger, jusqu’à n’en plus pouvoir. Ils ont enfin terminé leur journée dantesque en assistant aux jeux d’eau de la Fontaine magique, avec toujours autour d’eux ces étranges perroquets verts, hitchcockiens, qui ont terrifié Florent. Un groupe ‘visite-shopping’ s’est également formé autour de Carine et Julien avec Marion et Eric, en visite chez des amis, et Annick et Marc Waltzer, veillant au grain sur les dépenses potentiellement inconsidérées de Carine sur la Rambla dels Estudis (que Carine prononce justement ‘essetudisse’). Magali C. les a accompagné pendant une partie de la journée pour laisser son homme se préparer psychologiquement pour la course. Enfin, cela a été l’explication (ou l’excuse) donnée par Freddy que l’on aurait vu, à ce sujet, du côté du Raval la nuit tombante.

Du côté du Village Marathon, sous le musée national, Jean-Robert n’a pas été loin d’obtenir une place dans le prochain Video Gag. En oubliant son sac marathon, contenant puce et dossard, dans un bus, les catalans ont regardé J-R courir dans tous les sens pour rattraper son billet d’entrée indispensable pour le marathon. S’il a réussi à remettre la main dessus, il a hélas perdu de vue dans sa course frénétique son épouse Françoise, Philippe et Hélène Cordier, pendant plus d’une heure. Et le revoilà parti pour courir dans tous les sens ! Avec cette dépense d’énergie considérable, le marathon allait se transformer en tragédie.

Autre épisode fâcheux du samedi. “Le repas du midi de Marc Taraud”. Même si Marc ne pensait pas faire un temps canon ce dimanche vu le peu de sorties longues effectuées, il avait néanmoins pris soin de bien se préparer les deux derniers jours. Preuve en est avec ses séances intenses d’électro-stimulation des cuisses, dans le bus, photos de Julien à l’appui. Mais ce samedi midi au restaurant, Marc n’a jamais vu son plat arriver. Furieux, il a décidé de ne plus attendre et de quitter les lieux le ventre vide. Seule une poignée de nuggets vers 17h l’a aidé à tenir alors qu’un stockage glucidique est pourtant prôné la veille d’un marathon.

Pour couronner la journée, certains privilégiés ont eu la chance d’aller assister au match Fc Barcelone – Saragosse, au Camp Nou. Arno Champalle, présent avec Claudie depuis deux jours en ville, était aussi de la partie. Le score : 1-0, avec, selon David, une atmosphère spéciale sans vraiment d’ambiance, mais que la grandeur du stade rendait à la fois magique et inquiétante.

Sur les conseils d’Arno, croisé le matin Passeig de Gracia, ceux qui n’ont pas été au match se sont rendus aux abords de la Sagrada Familia, pour un repas “pasta” ce, pour emmaganiser le plus de forces possibles. Après avoir goûté les pâtes, Franck a noté dans un coin de sa tête de ne jamais plus faire confiance à Arno. Mais le petit évènement de la soirée fut pour Patricia victime d’un pickpocket. Mais, dans un geste salvateur, celle-ci a pu empêcher au dernier moment le larcin en tirant machinalement son sac vers elle. Au retour du resto dans le métro, tous les membres du club sont alors devenus complètement paranos face à tous les inconnus un peu menaçant qu’ils ont croisé.

Dimanche, le marathon ayant laissé des traces, le groupe a pensé avant tout à se reposer en visitant les hauteurs de la ville. Lors de l’apéro de 20h, deux évènements furent fêtés. L’anniversaire de Philippe Berger, haut dignitaire de l’AC Cannes qui a accompagné Chantal Meillerand pour le voyage et l’organisation de David Laroche que tout le monde a salué.

Petites adresses sympa ensuite pour le dimanche soir : Le resto du marché Santa Catarina, vraiment top et le resto-tapas, plaça Nova devant la cathédrale, le Bilbao et ses fameux pics, qu’Eric voit à chaque fois comme un nouveau défi.

Enfin, pour finir rien de tel qu’un bar d’ambiance choisi par Carine, (qui était en outre un bar gay, ce que nous avons découvert que plus tard) pour absorber le mojito de l’adieu à Barcelone.

 

LE MARATHON :

Parcours assez valloné dans l’ensemble avec surtout les cinq premiers et les cinq derniers kilomètres en montée. Cependant, la douceur du climat et la chaude ambiance ont bien aidé les coureurs à se dépasser.

Seul David Demarty avait été sérieux tout au long de la prépa marathon. L’envie de revenir au plus haut niveau sous les 3h devait se concrétiser dans les faits et David y croyait dur comme fer. La petite crainte de la fatigue engendrée par le voyage était le seul point négatif au moment du départ.

David a décidé de faire une course d’équipe avec Max Maccio (qui a réalisé une très belle épreuve à presque 15km/h de moyenne). Calmé à de nombreuses reprises par Max, David a voulu accélérer durant le parcours, mais c’est pourtant lui qui a craqué sur la fin d’épreuve. Pas de record perso mais la troisième meilleure performance du club sur la distance en attendant Robert Sai à Paris.

Pas si loin derrière, Marc Taraud s’est surpris en tombant les 3h. Avec un départ tranquille, Marc s’est bien amusé à remonter le ballon rouge des 3h. A l’arrivée des 42kms, Marc confiait même en avoir encore un tout petit peu sous le pied. Francfort, Amsterdam, Em-Ti choisira en fin d’année le lieu et la date pour améliorer son record.

Freddy Chabriere n’a pas privilégié, comme à Rome l’an dernier, l’aspect chronométrique du marathon. Voulant néanmoins terminé dans un temps décent, il a bien résisté au mur du 30km pour finir à environ cinq minutes de son temps effectué à Cannes à 2009.

Pour Franck Saffioti, la marche de la veille avait très sérieusement entamé le capital énergétique. A l’arrivée, un “positive split” gigantesque et un chrono qui l’est tout autant. Les deux derniers kilomètres passés en 16 minutes restent le symbole de cette dériliction totale.

Sophie Juncker a d’ailleurs failli revenir sur Franck car elle ne s’est pas effondrée sur la dernière partie très usante du parcours. Avec une préparation un peu courte, Sophie n’avait donc pas toutes les munitions pour descendre son record mais, avec une course plus qu’honnête, elle inscrit son chrono comme la nouvelle référence du club. Et pour l’instant, elle est la seule à avoir les moyens de faire mieux chez les féminines.

Parti sur des bases de 3h45, David Laroche a réalisé son marathon avec une immense fatigue nerveuse, née de l’organisation du voyage. Le résultat final indique en effet que David a craqué sur la fin et le retour sur la place d’Espagne. Mais au niveau des sensations, notre G-O officiel sent qu’il a franchi un cap et que tomber les 4h sera un jeu d’enfant avec un minimum de sérieux à l’entraînement.

Avec son périple de la veille, Jean-Robert Frey avait revu ses ambitions à la baisse. Parti à 10km/h Jean-Robert courait avec en ligne de mire le ballon des 4h. Le manque de jus de la fin d’épreuve l’a obligé à ralentir pour ne pas se blesser et hypothéquer sa saison printanière.

Enfin, Arno Champalle, encore plus fatigué que Franck de son séjour a lui connu “le mur” dès le quatrième kilomètre… En tentant tant bien que mal de suivre le ballon des 3h30, Arno a jeté l’éponge au 31ème kilomètre alors que Claudie lui tendait son jean pour se rhabiller.

Le lundi matin, quelques-uns effectuaient le footing de récup’ pendant que Stéphane se rendait encore au Park Guell pour effectuer son entraînement trail. Pour sûr, une histoire d’amour est née entre Gaudi et Stéphane.

 

Le Parcours: http://www.openrunner.com/index.php?id=866840

Résultats en ligne ici

 

David Demarty :    296 ème en 2h 54min 05sec (record Peillon)

Marc Taraud :       470 ème en 2h 57min 58sec

Freddy Chabriere : 4130 ème en 3h 35min 43sec

Franck Saffioti :   4601 ème en 3h 39min 02sec

Sophie Juncker :    4686ème en 3h39min 37sec (record du club)

David Laroche :      8940 ème en 4h09 min42 sec

Jean-Robert Frey : 10297 ème en 4h 25min 06sec

Arno Champalle : abandon

et en guest star :

Max Maccio (Menton Marathon) 230 ème en 2h51min 34sec (record personnel)

 

12526 arrivants.

 

 

 

Foulées du Béal et Trail de Breil sur Roya

 

 

Petit récit de Jean-Marc Taraud sur les foulées du Béal :

“Ce dimanche, tous les coureurs n’étaient pas à Barcelone. Deux amoureux de la nature ont participé à cette magnifique course champêtre et ensoleillé du Béal. Comme le dit Françoise, la femme de Grégory, le plaisir avant la performance et l’objectif est atteint (comme la tarte)”

Victoire de William Struyven et de Céline Bousrez.

 

Greg Athénosy : 32ème en 37min 07sec

Jean-Marc Taraud : 75ème en 43min 05sec

 

 

A Breil, Hans Spies a fait brillé les couleurs du club en revenant sur la terre de ses exploits de 2009. La sentence a été dure, avec dix bonnes minutes de plus à l’arrivée mais beaucoup de plaisir pris sur les pistes surplombant la Roya.

Victoire de Renaud Cadière et Lisel Dissler sans trop forcer.

 

Hans Spies : 67ème en 2h 24min 58sec

 

 

A partir du week-end prochain, le calendrier du club se diversifie et vous risquerez de trouver des membres de Peillon un peu partout sur les courses de la région jusqu’aux premières épreuves du challenge des Paillons 2011.

 

 

édition 2011 – – Réglement

REGLEMENT DE LA MONTA CALA 2011

Article 1 ? Les épreuves :

L?Association Courir à Peillon de Nissa organise le 05 juin 2011 la MONTA CALA. Cette épreuve est ouverte aux coureurs sur une distance de 14,5 km environ en terrain varié sur routes et chemins communaux sur les communes de Peillon, Peille et Blausasc pour un dénivelé positif d?environ 450m. Le départ et l?arrivée se feront à Ste Thècle de Peillon devant la mairie, rue de l’hotel de ville. Le nombre des participants est limité à 250.
Les Départs seront échelonnés de la façon suivante :

Monta Cala (14,5 km) : Départ 9h00.

Courses enfants Bébé à benjamin: Départ 09h15.

 

-Accès :

1.En voiture : Par l?A8, sortie Nice Est, puis direction Sospel,Contes (N204), sortie Peille, Peillon (06440).continuer sur la CD21, en direction de Peillon.

2.En train : Depuis la gare SNCF de Nice, prendre la ligne 05 direction Breil-sur-Roya et descendre en gare de Peillon Sainte Thècle. 300m du Départ de la course. Horaire sur www.ter-sncf.com/paca

3.En car : Depuis la gare routière de Nice promenade du Paillon (Tél. 04 93 85 61 81) prendre la ligne 360 (réseau TAM) horaire sur www.cg06.fr

 

 

Article 2 – Conditions d’inscription :

Etre majeur.
Etre titulaire d’une licence FFA, FFTRI, FSGT Athlétisme FFCT Athlétisme et UFOLEP Athlétisme en cours de validité. Pour les non licenciés : posséder un certificat médical de non contre indication à la course sur terrain accidenté. Les originaux de ces documents sont obligatoires lors du retrait des dossards et l?organisation gardera les certificats médicaux en sa possession et ce pendant un an. (Conformément à la loi 99-223 du 23/3/99 : la participation aux compétitions sportives organisées ou agréées par les fédérations sportives est subordonnée à la présentation d?une licence sportive portant attestation de la délivrance d?un certificat médical mentionnant l?absence de contre-indication à la pratique de la course à pied en compétition, ou, pour les non licenciés auxquels ces compétitions sont ouvertes, à la présentation de ce seul certificat ou de sa copie certifiée conforme, qui doit dater de moins d?un an).

Renseignements : par téléphone au 06 23 10 10 67 / 06 70 48 15 79 ou par mail courirapeillon@yahoo.fr

Attention aucune inscription ne sera effectuée par téléphone.

 

En ligne sur sans majoration de prix. S’inscrire en ligne est la méthode la plus simple et la plus rapide pour effectuer son inscription. En quelques minutes vous avez la certitude d’être inscrit en recevant une confirmation d’inscription.

Attention : Malgré votre confirmation d’inscription, votre participation à l?épreuve est subordonnée à LA PRESENTATION de votre certificat médical (ou photocopie lisible) ou de votre copie de licence recto/verso de l’année 2010/2011 lors du retrait de votre dossard.
Le montant de l’inscription est fixé à :

Inscription à Monta Cala : 9 euros. Règlement à l’ordre de COURIR A PEILLON.

-Inscription aux courses enfants gratuites.

 

-Repas organisé par l?association Fêtes et traditions Peillonnaises:

Tarif unique  8 euros.

Réservation obligatoire au 06 37 80 04 74


Article 3 – Retrait des dossards :


Les inscriptions et le retrait des dossards se feront le dimanche 5 juin 2011 de 07h00 à 08h45 dans la salle polyvalente de la sousta”lieu dit le Moulin”. Les dossards seront à retirer sur présentation du certificat médical de non contre indication à la pratique de la course à pied (l?organisation conservera le certificat médical) ou de la licence sportive. Aucun dossard ne sera expédié par la poste.
Le dossard devra être porté devant et être entièrement lisible lors de la course. Dans le cas contraire il est susceptible de disqualification.

Article 4 – Engagement :

Tout engagement est ferme et définitif et ne peut faire l?objet de remboursement pour quelque motif que ce soit.
Sur simple demande écrite (mail ou courrier) effectué 7 jours avant l’épreuve, nous reportons gratuitement votre inscription pour l?édition suivante.

Article 5 – Assurance :

Responsabilité civile : conformément à la loi, les organisateurs ont souscrit une assurance couvrant les conséquences de leur responsabilité civile, celles de leurs préposés et de tous les participants de la Monta Cala de Peillon auprès de la compagnie Gras Savoye.

Les concurrents participent sous leur propre responsabilité en cas d’accident ou de défaillance consécutive à leur état de santé. Cependant il incombe aux participants non licenciés de souscrire une police d?assurance individuelle accident.

Article 6 – Ravitaillement :

4 ravitaillements sur le circuit et 1 à l?arrivée.

-Km 3 : point de ravitaillement en eau et sucre
-Km 6 : point de ravitaillement en eau, boissons sucrées, sucres, chocolat, fruits?

-Km 8 : point de ravitaillement en eau et sucre.

-Km 11 : point de ravitaillement en eau et sucre

Les ravitaillements extérieurs à l’organisation sont autorisés. Respectez l’environnement en pensant à jeter vos emballages de barres dans les poubelles mis à disposition sur les ravitaillements, ou en les gardant sur vous jusqu?à l?arrivée.



Article 7 ? Logistique :

Commissaires de course, Quads et voitures ouvreuses, voiture balai,coureur serre file, secours UDPS06.

-Marquage au sol (peinture biodégradable jaune fluo) et rubalise+pancarte jaune fluo sur le parcours+ indication kilométrique.

Article 8 – Classement et dotation :

La remise des prix se fera à partir de 12h00 sur l?aire de départ/arrivée.
Récompense pour : Les 3 premiers au scratch.
Les 3 premiers de chaque catégorie, non cumulable avec le scratch. (JH, EH, SH, V1H, V2H, V3H, V4H, JF, EF, SF, V1F, V2F, V3F, V4F)

Article 9 – Contrôle :

Plusieurs points de contrôle seront établis par l’organisation afin d’assurer la régularité et la sécurité de l’épreuve.

Tout concurrent n?ayant pas été pointé à l?intégralité des points de contrôle sera disqualifié.

Article 10 – Commissaires :

Les contrôles sont effectués par des commissaires de course qui sont sous l?autorité du directeur de course dont le pouvoir de décision est sans appel.

Article 11 – Assistance médicale et sécurité :

Une équipe médicale composée de secouristes sera présente pendant toute la durée de l’épreuve. Elle est habilitée à mettre hors course un concurrent jugé inapte ou mettant en danger sa sécurité ou celle d’autrui. Les concurrents autorisent le service médical à prendre les mesures nécessaires en cas d’accident. En cas d’abandon, le concurrent doit prévenir le poste de contrôle ou de ravitaillement le plus proche et rendre son dossard. Il sera mis hors – course et autorisé à quitter le parcours par ses propres moyens et sous sa propre responsabilité. Toutefois, l’organisation pourra l’assister et le reconduire sur la zone d’arrivée.
La sécurité routière sur les routes empruntées est assurée par des signaleurs mis à disposition par l?organisation.

Article 12 – Médias :

La couverture médiatique est assurée par la presse locale, et la presse spécialisée. Les concurrents autorisent l’organisation à utiliser leur image pour tout support concernant l’événement à des fins promotionnelles (photos, vidéos…).

Article 13 – Dossier inscription :

Le dossier d’inscription en ligne est à remplir avant le jeudi 02 juin 2011.

Les inscriptions par courrier doivent parvenir à l?organisation avant le jeudi 02 juin 2011.

Au-delà de cette date, les inscriptions seront enregistrées sur place le jour des épreuves.

Article 14 – Pénalités :

Le non-respect de ce qui suit entraînera la disqualification du concurrent :
Non port du dossard.
Aide extérieure autre que ravitaillement.
Non respect du parcours et des postes de contrôle.
Non respect de l’environnement (jet de bouteille, de papier…)
Mise en danger de sa propre sécurité, de celle d’autrui ou non assistance à un concurrent.
Avis du service médical.
Le présent règlement est valable dans sa totalité pour les coureurs. Les organisateurs attirent l’attention des concurrents sur le respect de l’environnement, des bénévoles, des promeneurs et des riverains.

Article 15 – Interdiction :

Les bicyclettes, engins à roulettes et / ou motorisés, autres que ceux de l?organisation, sont formellement interdits sur le parcours.

Article 16 – Chronométrage :

Le chronométrage sera effectué par un chronomètre et un logiciel de chronométrage LOGICA agréé par la FFA.

Article 17 – Annulation :

L’organisation se réserve le droit d?annuler ou de reporter la manifestation en cas de force majeure (intempéries). En cas d’annulation ou de report, les inscriptions seront automatiquement transférées pour la date de report ou pour l’édition suivante.

Article 18 – Acceptation du règlement :

Tout concurrent reconnaît avoir pris connaissance du présent règlement et en accepter toutes les clauses. Il s?engage sur l?honneur à ne pas anticiper le départ et à parcourir la distance complète avant de franchir la ligne d?arrivée.